LE TEMPS DES PROTECTORATS EST-IL REVENU?

A la vu du refus de reconnaître les situations biérusse et malienne on peut se demander si le temps des protectorats esr revenu

Il peut paraître incongru de mettre sur le même plan l'action de la France au Mali et celle de la Russie en Biélorusse Pourtant il y a de nombreux points communs :

- Les deux puissances ne se satisfont par de la situation

- Les deux défendent leurs intérêts dans des pays leurs ayant appartenu

- Les deux laissent la gestion des affaires intérieures aux locaux tout en faisant pression pour qu'ils prennent une certaine direction

Il y a cependant deux différences: La première est la nature des régimes: autoritaire et patriotique en Russie, pseeudo démocratique et cosmopolite

Mais la différence la plus grave est que la politique étrangère russe est cohérente avec son histoire et ses intérêts alors que la nôtre ne l'est pas En effet si nous sommes en Afrique, dans nos anciennes colonnes c'est d'abord pour éviter à nôtre territoire d'avoir des djihadistes sur nôtre sol; et éradiquer les terroristes d'Afrique

De deux choses l'une: soit on fait la guerre seul, l'armée n'obéit qu'au pouvoir français et on laisse les locaux (tcadiens, maliens et autres) faire leur cuisine politique entre eux, sans s'en occuper, soit on siffle la fin de la récréation et on réintègre nos anciennes colonnes dans la France

Mais on ne reste pas par les fesses entre deux chaises

En tout état de cause la France honorerait d'avoir un une grande politique aiffricaine de défense des points de peuplement chrétiens

Le projet de loi Bioéthique repasse à l'Assemblée nationale pour la troisième fois

C'est le dernier examen à l'Assemblée nationale. Le projet de loi Bioéthique repasse devant les députés, à partir de ce lundi. Un texte réécrit qui va trop loin pour la droite, mais qui douche quelques espoirs pour des associations LGBT+.

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Russie/Biélorussie, le jeu à somme nulle

" Tous les familiers de l'histoire de l'Est communiste ont ressenti le même frisson", écrit Veronika Dorman dans Libération . L"interview" de Roman Protassevitch rappelle sourdement le pire du passé soviétique, quand le pouvoir, non content de censurer et d'écraser toute pensée hétérodoxe, s'employait aussi, avec une délectation perverse, à mettre en scène la chute de ses détracteurs, en les exhibant comme des traîtres.

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