POUR UNE RECONNAISSANCE DES FAMILLES NATIONALES
Vous le savez, je n'ai jamais cru au multilatérisme, à la "communauté internationale", la loi, tous ces fétiches qu'on agitent devant des nations faibles ou rendues débiles par la démocratie
J'ai noté les échecs les plus flagrants dans l'article sur Védrine, mais il y en a d'autres: échec dans la fixation des population indigènes chez elles, échec dans l'intégration des réfugiés palestiniens dans les pays arabes, et j'en passe..
On ne peut nier qu'il y ait des nations dirigeantes et d'autres qui suivent, ni qu'il y ait des familles de nations linguistiques et psychologiques On peut imaginer l'institutionnalisation de ces familles dans lesquelles se régleraient pacifiquement de préférence, les problèmes
Ainsi seraient conjuguer l'indépendance dans une fraternité quasi naturelle Ce qui n'empêche pas un minimum de commerce interfamilliale et une coordination des familles pour les problèmes mondiaux: polution, famine, épidémie
La pandémie du Covid-19 démontre avec une terrible force la nécessité de repenser le multilatéralisme. Pour comprendre la période contemporaine et construire l'avenir, nous bénéficions dans cette conférence du 2 décembre 2019 des regards croisés d'une historienne du multilatéralisme, Régine Perron, et d'un diplomate praticien du multilatéralisme à l'ONU, à l'UE et au G7/8, Alain Le Roy.
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