NON AU DROIT AU BLASPHÈME
On a le droit de critiquer une religion, si c'est fait intelligemment, sens blesser personne,ce qui n'est visiblement pas le cas de Mila puisque
Mila, la lycéenne iséroise de 16 ans dont les virulentes critiques sur l'islam lui ont valu un déferlement de menaces qui l'empêchent aujourd'hui d'être scolarisée, a assuré lundi sur TMC ne "pas regretter" ses propos, revendiquant son "droit au blasphème", relate l'AFP.
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quelle reconnaît que des musulmans pratiquent sans faire de mal Ce qui dément l'assertion selon laquelle l'islam intrinsèquement mauvais
Il y a des mots qui entraînent des poursuites, "pédé" ect, à juste titre Mais ces poursuites sont tout de même une atteinte à la liberté d'expressions Dire qu'un tel est un connard ne conduit pas en correctionnelle mais dire que c'est un "pédé" le fait, bien qu'il n'y ai aucun appel au meurtre ni d'insulte envers un groupe C'est grossier bien sur
alors pourquoi permettons le blasphème envers les divers représentations de Dieu que proposent les religions, et qui blessent beaucoup plus de personnes que les insultes concernant les déviants sexuels?
Il faut être logique Soit on judiciarise toutes les incivilités,y compris le blasphème soit on judiarise rien