REPONSE A ROSA HARTMUT A PROPOS D'"AUX ORIGINE DE LA CRISPATION ANTI-MIGRANTS"

28 avril 2018

L’article « aux racines de la crispation anti-migrants » me semble incomplet donc partial

Premièrement il ne prend pas en considération les passés: oui les passés: ce n’est pas l’apanage des allogènes d’avoir un passé et des tradition Les migrants en ont aussi dans leur têtes, leurs mentalité
Et le premier déséquilibre de l’article est de ne demander qu’à l’allogène de faire preuve d’ouverture, de volonté de dialogue et d’abandon de personnalité

Deuxième concept contestable: l’aliénation synonyme de crainte du monde et de l’étranger Il n’y a aucune crainte de ce qui est, dosons, « pittoresque », si ce pittoresque reste dans les limites du raisonnable et qu’on n’accorde rien de plus qu’à l’allogène, et après lui, sino il aura l’impression, qui deviendra réalité
En outre on pourrait en dire autant des peuples colonisés qui ont lutté pour leur indépendance; incapables d’ »accueillir » la culture des colonisateurs (relisez donc « voyez comme la France est haie en Algérie… »)

Troisième défaut de l’article: le désintérêt manifesté envers les pays pourvoyeurs de migrants, pas un mot, ils ont disparus du monde, de la réflexion de l’auteur

Seul point d’accord la dissémination de familles dans les villages avec tous les services utiles à une vie normale

Aux racines de la crispation anti-migrants

C'est vrai : si nous les laissons entrer chez nous et si nous acceptons d'avoir affaire avec eux, les réfugiés vont nous changer ; nous nous transformerons et serons bientôt différents de ce que nous sommes aujourd'hui ! En ce sens, ce serait certainement

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