PLUS DE LECTURE, A QUEL PRIX, POUR LIRE QUOI? MOINS DE JUSTICE A L'ENCONTRE DES FEMMES CRIMINELLES

Deux nouvelles ont retenu mon attention au journal de 7H 3O sur « France-culture » L’une positive, l’autre négative

Macron veut favoriser la lecture en rallongeant les horaires des bibliothèques C’est bien sur une excellente chose, notamment à la fin de semaine (week-end) mais il faut soit prendre des bibliothécaires non chrétiennes pour le dimanche (jour de culte et repos) soit prendre des athées Et en tout cas les payer plus qu’en semaine Soit prendre de bénévoles, ce qu’on appelait les « dames patronnesses »
Il faut aussi, mais c’est une autres affaire, que les fonds des bibliothèques reflètent  la richesse de notre culture, sans exclusive, de Rutebeuf  à Houellebecq et ne pas promouvoir uniquement les  traitant de thèmes polémiques La culture doit unir dans l’admiration du beau, de l’harmonie

La seconde nouvelle est extrêmement choquante puisqu’une femme de 54 ans ayant réduit une «adolescente en esclavage n’a été condamné qu’à 18 mois AVEC SURSIS de prison
C’est-àdire qu’une femme qui maltraite une adolescente est moins criminelle qu’un frotteur dans le métro ou un insulteur qui voit passer dans la rue une fille habillée de telle sorte qu’on la prendrait naturellement pour une « pute »

On voit bien le parti-pris contre la masculinité et l’apriori comme quoi les femmes, mêmes criminelle seraient des victimes-nées
Souvenez-vous de la grâce qu’Hollande a accordé à la femme assassin de son mari parce qu’elle était battue!
L’aurait-il accordé si les rôles avait été inversé?
Non!

JOURNAL DE 7H30 du mardi 20 février 2018

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