LA FAUSSE POLITISATION DE LA DETTE GRECQUE

« Le Monde » se félicite, du moins le feint-il, de la « politisation » de la question grecque
Par « politisation » il faut comprendre qu’on passe, à contre cœur, sur certaines obligation pour atteindre un but qui leurs est supérieur, ici conserver la Grèce dans la zone euro

Il résulte de cette conclusion que Tsipras accepte une fausse politisation parce que n’arrache que des chainettes et laisse  intacte la grosse chaine
En effet cela rime à rien d’emprunter de l(‘argent (remboursable) pour rembourser, pas même la dette, mais les intérêts de la dette
C’est absurde!

La vraie politisation sera de déclarer tout de go qu’on ne paierait plus rien: ni intérêts ni la dette parce que les créditeurs se sont largement rembourser depuis trente ans

Tsipras obtient un début de politisation du dossier grec

Le Monde | * Mis à jour le | Par Adéa Guillot (Athènes, correspondance) Le premier ministre grec, Alexis Tsipras est peut-être en passe d'obtenir ce qu'il cherche depuis quatre mois, c'est-à-dire un règlement politique du dossier grec dans la dernière ligne droite.

http://www.lemonde.fr

La Grèce préfigure la Tiers-Mondialisation de l'Europe - Par Bernard Conte - Le blog de Lucien PONS

La cure d'austérité drastique à laquelle la Grèce est sommée de se soumettre trouve son modèle dans les politiques d'ajustement structurels qui ont été imposées par le FMI aux pays du sud après la crise de la dette déclenchée par la remontée des taux de la Fed en 1982, note l'économiste Bernard Conte.

http://lucien-pons.over-blog.com