COMMENT REFORMER LE CAPITALISME?

On appelle notre système « capitalisme » parce que pour fonder n’importe que entreprise ou institution il faut une masse monétaire nommée « capital »
Stricto sensus ce n’est que cela le « capitalisme » et tour régime, même communiste est « capitaliste » sous peine d’être un désert économique
Le reste est accessoire, non au sens des effets mais au sens oû çà peu exister ou non (propriété privée des moyens de production, du logement, héritage etc…)

Il y a donc un large éventail de réformes possible pour réformer ce système dans le sens d’un marché de satisfaction de besoins

La première réforme à faire est l’abolition de l’héritage monétaire et immobilière Cette réforme a deux avantages:  éradiquer la cupidité et l’avarice motivée par l’héritage et l’égalité à la naissance

Seconde réforme: chaque enfant reçoit dès sa naissance la même somme de l’Etat par mois (somme bloqué jusqu’à sa majorité) Après les citoyens font ce qu’ils veulent du pécule (important) qu’ils ont
On peut discuter pour savoir si chaque citoyen reçoit une petite somme mensuel à vie

Troisième réforme: favoriser les opératives, briser les multinationales, produire au maximum les produits basiques au niveau locale

C’est ainsi qu’on peut réformer le capitalisme sans tomber dans la pauvreté

Le marché, est-ce la même chose que le capitalisme ? Par Javier Portella

Par Javier Portella, écrivain espagnol francophone, essayiste ♦ Lors de récentes déclarations , Jean-Claude Michéa, reprenant une idée déjà exposée dans L'Empire du moindre mal, s'en prenait à " la droite qui vénère le marché et vomit ses conséquences ".

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