LES GROSSES FICELLES DE JACQUES ATALLI
Atali est un redoutable rhéteur en amalgament tout et n’importe quoi
Il ne pose en premier lieu jamais la question de savoir si être « réfugié » est un état normal?
He bien disons-le haut et fort: être réfugié, migrant n’est ni normal ni souhaitable Chacun a le droit de vivre dans son pays, sa région, s’il le souhaite; en paix!
Ensuite c’est volontairement qu’Atali prend le problème migratoire sous le seul aspect manichéen et charitable
Il ignore volontairement les méfaits d’une grosse minorité de migrants La bienveillance qu’il réclame avec tant d’insistance, ne doit pas être à sens unique, comme le montre de nombreux articles trop complaisants
La solidarité, dite indivisible, ne l’est assurément pas, et ce n’est pas parce qu’on en manque qu’on refuse les migrants
L’espace, le travail, l’argent sont en quantité limité et la misère est illimité aussi les citoyens d’une nation doivent être solidaires prioritairement entre eux
Mais notre cosmopolite fait semblent de croire que l’égoïsme envers les immigrés préfigure l’égoïsme envers les retraités, chômeurs et handicapés; alors que c’est précisément pour préserver ler moyens de la solidarité nationale qu’on refuse une trop grande immigration
Qui ne voit, que, depuis quelques semaines, le monde s'est emballé, dans la mauvaise direction ? Comme si les digues éthiques avaient toutes sauté en même temps. Les dirigeants politiques, aux Etats-Unis, en Europe, au Japon, en Australie, et dans bien d'autres contrées, s'entendent joyeusement pour affirmer haut et fort leur droit de ne pas recevoir de réfugiés, en violation de toutes les conventions internationales.
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