POURQUOI L'EDUCATION NATIONALE ECHOUE A FORMER DE BONNES PERSONNES?
Hier « France-info » a diffusé vers 19H 20 un reportage sur un jeune garçon victime d’harcèlement à l’école qui en est mort Cette nuit en deuxième partie de l’émission « les pieds sur terre » diffusé à 17H il y avait le témoignage d’un responsable d’une concession « Renault » harcelé par sa hiérarchie pour qu’il « mette la pression » sur les vendeurs afin qu’ils vendent toujours plus Ce responsable était à deux doigts du suicide et n’a du son salut qu’à la perspicacité de son épouse
Aucun rapport entre ces faits direz-vous? Erreur! Ces faits sont le symbole, le symptôme des démocraties capitalistes et l’échec de l’éducation
En effet l’éducation national n’apprend pas l’estime de soi, ni par l’histoire nationale ni par l’étude de la philosophie (qui a lieu bien trop tard dans le cursus scolaire) L’obsession des enseignants, et des étudiants est l’insertion dans la vie professionnelle, ce n’est pas un mal en soi, mais c’est purement pragmatique et ne donne pas les ressources morales ou spirituelles pour surmonter les vicissitudes de l’existence ou pour ne pas commettre d’actions indignes de l’image de soi
Mais dans les deux cas il faut avoir l’estime de soi, et cette estime de soi est radicalement contraire au capitalisme puisqu’il personnifie tous les vices de l’âme: égoïsme, dilapidatition de son argent etc…
Il est donc urguntissime de mettre en avant le fait humain dans l’éducation nationale pour contrebalance l’utilitarisme ambiant
Connu au Japon sous le nom de Tako-Tsubo, le " syndrome du cœur brisé " affecte le cœur après un stress émotionnel. Pour la journaliste Daniele Laufer, c'était ce qu'elle appelle un " chagrin de travail ". Pour les cardiologues, plutôt un burn-out cardiaque.
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