LA CHINE A MANGE SON PAIN BLANC MAIS NOUS POURRIONS LUI DONNER DU RAB
À la lecture des deux articles mis en lien la Chine apparait comme un colosse aux pieds d’argile extrêmement vulnérable, mais pour cette raison même dangereuse
La Chine a et aura de plus en plus besoin de nourriture, aubaine pour l’agriculture française (si on la redynamise et qu’on ne la laisse pas acheter nos terres comme en Afrique et à Madagascar) et que la France non seulement développe une industrie de dépollution mais aussi de fertilisation des déserts (comme Israël)
Nous pourrions conclure un partenariat privilégié qui stipulerait que nous fournirions à la Chine des produits alimentaire un peu en dessous du marché mondial en contrepartie de quoi la Chine devra rembourser, à son rythme, mais avoir fini dans dix ans, nos dettes internationales
Cette recension a été publiée dans le numéro d'été de Politique étrangère (n°2/2017) . John Seaman, chercheur au Centre Asie de l'Ifri, propose une analyse de l'ouvrage de Jean-François Huchet, La crise environnementale en Chine. Évolutions et limites des politiques publiques (Presses de Sciences Po, 2016, 152 pages).
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Cette recension a été publiée dans le numéro d'automne de Politique étrangère (n°3/2017) . Marie-Hélène Schwoob propose une analyse de l'ouvrage de Jean-Marc Chaumet et Thierry Pouch, La Chine au risque de la dépendance alimentaire (Presses universitaires de Rennes, 2017, 216 pages).
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