UN IDEALISME MINIMAL POUR LA POLITIQUE INTERNATIONAL
Ce document fait l’aveu, de taille, qui est que ce qui ne va pas dans le monde est la faute des Etats-Unis faute de contrepoids et de vision clair du bien commun universel
Du moins Obama a-t-il la franchise d’avouer que la diplomatie n’est pas idéaliste et ne cherche pas le bien commun des nations (comme ce l’était plus ou moins au moyen-âge lorsque le pape arbitrait en justice entre nations au nom de Dieu)
L’idéalisme international n’est ni démocratique, communiste ou capitaliste L’idéalisme internationale tel que je le conçois est que les Etats historiquement soient libres de leurs politiques, us et coutumes pourvu qu’ils ne massacrent d’aucune façon et sous aucun prétexte leurs peuple
Il doit aussi veiller à ce que chaque nation puisse nourrir et abreuver leur peuples
Et enfin favoriser la connaissance des cultures du monde
Ces buts ne sont pas l’ »Objectif » suprême qui est la divinisation des humain par la vie
Pas une vie misérable de crève-la-faim qui tord et amoindrit le libre-arbitre, si tant est que nous en ayons un, mais une vie qui permette de choisir véritablement entre le bien et le mal
Barack Obama a avoué que le "leadership américain" impliquait de "forcer la main" des Etats qui "ne font pas ce que nous voulons qu'ils fassent" et que les Etats-Unis comptaient sur la force militaire et d'autres leviers pour atteindre leurs buts.
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