QUAN SYRIZA DECOIT LA GAUCHE RADICALE FRANCAISE
Lucien Pons découvre trois mois après moi l’incapacité radicale de Syriza à libérer leur pays de l’UE et de la finance cosmopolite Cependant il croit toujours que l’extrême-gauche, ou gauche radicale, est capable de patriotisme, ou nationalisme pour moi ces termes sont identiques, alors qu’une de ses doctrines fondatrice est l’internationalisme, qu’il soit prolétarien ou capitaliste peu importe
Dans cet article la nation, patrie, n’est pas recherchée pour elle-même, le bien commun économique et culturel qui transcende les classes, mais comme instrument démocratique et de lutte de classes
Celle-ci existe à l’état naturel et est un fil rouge de toute l’histoire économique dès l’esclavage mais le patriotisme exige qu’on fasse tout pour l’adoucir jusqu’à atteindre une société méritocratique et autant que possible autogérée sous l’égide du Roi (en France)
Ceci implique l’exclusion volontaire de la patrie des gens qui ont la même mentalité que les personnes mentionnées dans l’article
Qu’on le déplore ou s’en réjouisse l’Etat-nation est une donnée indépassable qui ne sera pas aboli dans un future à vu humaine Son abolition serait même une catastrophe pour les plus faibles
La preuve en est faite avec le désengagement économique de l’Etat anglais qui donne les « contrats zéro heure » qui est l’exploitation maximale du capitalisme actuelle
Panagiotis Sotiris Version complète de l'intervention de Panagiotis Sotiris au débat organisé par le collectif Penser l'émancipation le 2 Avril 2015 à l'EHESS en présence de Fréderic Lordon arrivée de SYRIZA au pouvoir, c'est-à-dire la première fois qu'un parti de la Gauche non social-démocrate arrive au pouvoir dans un gouvernement où la Gauche ne représente pas l'aille minoritaire d'une coalition est, de toute façon, un événement historique, l'ouverture d'une nouvelle phase historique, un message d'espoir tout à fait indispensable pour toutes les classes subalternes en Europe!
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